Petitionär/in: Nelson José Santos Sousa
Revendication pour la Simplification du Droit à la Grève au Luxembourg
Ziel der Petition
L'objectif de cette revendication est de simplifier le droit à la grève au Luxembourg, en rendant son exercice plus accessible et moins contraignant pour les travailleurs. Actuellement, les procédures qui entourent la mise en oeuvre de ce droit sont complexes et passent par une validation ... mehr
Beweggründe für die Petition
Le droit de grève, en tant qu'outil essentiel de la négociation collective, revêt une importance particulière dans le maintien de la justice sociale et de l'équilibre entre les forces économiques et sociales. Simplifier son exercice constitue un enjeu d'intérêt général, car il permet de ... mehr
Verlauf dieser Petition
Die öffentliche Petition Nr. 3323 hat das Quorum von 4500 gültigen Unterschriften bis zum 20-11-2024 nicht erreicht. Zahl der gültigen Unterschriften: 32
Gültige Online-Unterschriften: 32
Die Frist zum Unterschreiben der öffentlichen Petition Nr. 3323 ist am 08-11-2024 abgelaufen - Zahl der Online-Unterschriften vor Überprüfung: 32
Die öffentliche Petition Nr. 3323 kann ab dem 27-09-2024 unterschrieben werden
Zulässigkeitsbescheid
Die öffentliche Petition Nr. 3323 wurde am 26-09-2024 von der Präsidentenkonferenz für zulässig erklärt
Zulässigkeit : zulässig
Beginn der Unterschriftsphase : 27-09-2024 um 0:00
Ende der Unterschriftsphase : 07-11-2024 um 23:59
Das Gutachten des Petitionsausschusses vom 25-09-2024 betreffend die Petition Nr. 3323 fällt positiv aus
Gutachten des Petitionsausschusses : positiv
Die öffentliche Petition Nr. 3323 wurde am 15-08-2024 eingereicht.
Titel der Petition: Revendication pour la Simplification du Droit à la Grève au Luxembourg
Ziel der Petition: L'objectif de cette revendication est de simplifier le droit à la grève au Luxembourg, en rendant son exercice plus accessible et moins contraignant pour les travailleurs. Actuellement, les procédures qui entourent la mise en oeuvre de ce droit sont complexes et passent par une validation judiciaire préalable, ce qui freine considérablement son usage. Le but est donc d'alléger ces formalités afin que les travailleurs puissent exercer leur droit de grève de manière plus directe et effective, sans avoir à subir des obstacles administratifs et juridiques lourds et dissuasifs. En supprimant l'obligation de recourir aux tribunaux avant de pouvoir engager une grève et en réduisant les délais administratifs, cette réforme permettrait de rétablir un équilibre plus juste entre les employeurs et les salariés. De plus, cela contribuerait à rendre ce droit fondamental pleinement opérationnel, garantissant ainsi une meilleure protection des travailleurs dans leurs négociations avec les employeurs.
Gründe für das allgemeine Interesse dieser Petition: Le droit de grève, en tant qu'outil essentiel de la négociation collective, revêt une importance particulière dans le maintien de la justice sociale et de l'équilibre entre les forces économiques et sociales. Simplifier son exercice constitue un enjeu d'intérêt général, car il permet de garantir aux travailleurs un moyen légitime d'exprimer leurs revendications face à des situations d'injustice ou d'inégalité. Une réforme en ce sens bénéficierait à l'ensemble de la société luxembourgeoise en renforçant les droits des salariés, en particulier dans un contexte où les relations entre employeurs et travailleurs peuvent être marquées par des déséquilibres structurels. Cette simplification apporterait plus de transparence et de rapidité dans la gestion des conflits sociaux, réduisant ainsi les tensions et préservant la paix sociale.
En rendant l'accès à la grève plus direct, elle encourage également un dialogue social plus efficace. Lorsqu'un mécanisme tel que le droit de grève devient trop complexe ou inopérant en raison de lourdeurs procédurales, cela risque de créer des frustrations et d'entraver la capacité des travailleurs à défendre collectivement leurs intérêts. Ainsi, en simplifiant ces procédures, l'équilibre des forces est rétabli, ce qui renforce la stabilité sociale. La réforme souhaitée contribuerait donc à une meilleure gestion des conflits du travail, garantissant un cadre équitable pour tous les acteurs économiques, tout en assurant que les intérêts des travailleurs soient préservés sans compromettre ceux des entreprises et de l'économie dans son ensemble.