Petitionär/in: --- ---
Pour que le gouvernement luxembourgeois reconnaisse l'Etat de Palestine et contribue par cela à l'instauration d'une paix juste au Proche-Orient.
Ziel der Petition
Depuis la création du Conseil de Sécurité de l’ONU, celui-ci a adopté plus de 79 résolutions - parmi lesquelles il y a notamment la résolution 242 exigeant « le retrait des forces armées israéliennes des territoires occupés » et le « respect et reconnaissance de la souveraineté de l’intégrité ... mehr
Verlauf dieser Petition
Anfrage betreffend die Weiterbearbeitung der Petition in Form einer einfachen Petition
Gültige Online-Unterschriften: 2108
Die öffentliche Petition Nr. 462 hat das Quorum von 4500 gültigen Unterschriften bis zum 15-01-2015 nicht erreicht. Zahl der gültigen Unterschriften: 2108
Die Frist zum Unterschreiben der öffentlichen Petition Nr. 462 ist am 28-12-2014 abgelaufen - Zahl der Online-Unterschriften vor Überprüfung: 2108
Die Frist zum Unterschreiben für die öffentliche Petition Nr. 462 ist am 12-12-2014 bis zum 27-12-2014 verlängert worden
Neues Enddatum der Unterschriftsphase: 27-12-2014
Die öffentliche Petition Nr. 462 kann ab dem 14-11-2014 unterschrieben werden
Die öffentliche Petition Nr. 462 wurde am 13-11-2014 von der Präsidentenkonferenz für zulässig erklärt
Zulässigkeit : zulässig
Beginn der Unterschriftsphase : 14-11-2014 um 0:00
Ende der Unterschriftsphase : 26-12-2014 um 23:59
Das Gutachten des Petitionsausschusses vom 10-11-2014 betreffend die Petition Nr. 462 fällt positiv aus
Gutachten des Petitionsausschusses : positiv
Die öffentliche Petition Nr. 462 wurde am 29-10-2014 eingereicht.
Titel der Petition: Pour que le gouvernement luxembourgeois reconnaisse l’Etat de Palestine et contribue par cela à l’instauration d’une paix juste au Proche-Orient.
Ziel der Petition: Depuis la création du Conseil de Sécurité de l’ONU, celui-ci a adopté plus de 79 résolutions - parmi lesquelles il y a notamment la résolution 242 exigeant « le retrait des forces armées israéliennes des territoires occupés » et le « respect et reconnaissance de la souveraineté de l’intégrité territoriale et de l’indépendance politique de chaque Etat de la région » - qui condamnent directement les violations israéliennes des résolutions du Conseil de Sécurité, de la Charte de l’ONU, des Conventions de Genève et du droit international.
Depuis la signature des Accords d’Oslo, le nombre de colons israéliens sur le territoire occupé qui est censé constituer le territoire d’un futur Etat palestinien est passé de 100.000 à 500.000 en 2013. Cette colonisation, illégale par la Résolution 446 du Conseil de Sécurité de l’ONU, se poursuit en ce moment même et rend ainsi, de facto, impossible la création d’un Etat palestinien unifié sur ces territoires coupés et divisés.
Le processus de « négociations de paix », qui est d’ailleurs dans une impasse depuis des années, semble n’être qu’un prétexte pour faire patienter la population palestinienne et gagner du temps pendant que la politique illégale de colonisation continue.
La seule chose qui puisse pousser le gouvernement de Netanyahou à s’engager vraiment sur la voie de la paix sont des sanctions économiques et la pression internationale.
Malgré le déni permanent du droit international par l’État d’Israël depuis plus de 60 ans, l’Union européenne continue d’entretenir avec cet État des relations privilégiées — dont l’Accord d’Association est l’expression la plus large et la plus nette —, et assure de la sorte une impunité inadmissible à Israël, alors qu’elle dispose de moyens de faire pression sur l’État d’Israël pour qu’il se conforme au Droit international. Aussi longtemps que l’Union européenne ne dégage pas un consensus à cette fin, il revient donc aux États membres de prendre le relais. Ainsi, en tant que membre de l’Union européenne et, encore actuellement, du Conseil de Sécurité de l’ONU, le Luxembourg joue un rôle important et pourrait envoyer un signal symbolique et important à la communauté internationale en reconnaissant, lui aussi, l’État de Palestine.
A la lumière des éléments apportés, nous exigeons que le gouvernement luxembourgeois suive l’exemple de la Suède et celui de plus de cent autres Etats dans le monde et reconnaisse l’Etat de Palestine dans les frontières de 1967, afin de contribuer à une paix juste et nécessaire au Proche-Orient avec comme objectif principal la coexistence pacifique de deux Etats, la Palestine et Israël.
Les condamnations verbales des gouvernements ne suffisent pas ; il faut des actes politiques concrets.