Création d'un fond de solidarité pour les commerces fermés durant l'état de crise sanitaire du Covid-19 financé par les commerces ouverts

Closing statement

The public petition n°1525 is closed on 28-10-2020

Reason for closure: Demande concernant le reclassement en pétition ordinaire restée sans suite

Request concerning the continuation of the petition as an ordinary petition

The threshold of 4500 signatures is not reached for the public petition n°1525, on 16-09-02020 - Number of signatures after validation: 37

Validated electronic signatures: 37

Due to the suspension of paper signatures during the state of emergency, the period for paper signatures starts on 24.06.2020 and ends on 04.08.2020 at 23:59

The period for signing the public petition n°. 1525 is closed on 27-05-2020 - Number of electronic signatures before validation: 37

The public petition n°1525 is open for signature, on 15-04-2020

Statement of admissibility

The public petition n°1525 is declared admissible by the Conference of Presidents on 03-04-2020

Admissibility: admissible

Start date of the signature period: 15-04-2020 at 0:00 a.m.

End date of the signature period: 26-05-2020 at 11:59 p.m.

The Committee on Petitions issued an opinion positive regarding the public petition n° 1525, on 01-04-2020

Opinion of the Committee on Petitions: positive

The petition public n°1525 is submitted the 20-03-2020

Title of the petition: Création d'un fond de solidarité pour les commerces fermés durant l'état de crise sanitaire du Covid-19 financé par les commerces ouverts

Aim of the petition: Afin que les grands commerces (déjà privilégiés pendant les périodes normales) ne puissent s'enrichir plus qu'à la normale, je propose que tous les bénéfices de la période de confinement de ces grands commerces servent à financer un fond de solidarité afin de subvenir au besoin des petits commerçants obligés de fermer pendant cette période.

Motivation of the general interest of the petition: Il ne peut être acceptable d'un point de vue éthique que certains puissent s'enrichir sur le dos des autres durant un état de crise.

De plus, il serait tout aussi injuste que ce soit que nos impôts qui aident ces commerçants alors que d'autres ont profité de la situation sans repartager ce gain tombé du ciel.

Sachant en plus que certains commerçants profitent de la situation pour augmenter les prix des biens de première nécessité comme le papier toilette, les solutions hydroalcooliques, etc...

Les hypermarchés ouverts profitent le plus de la situation car ils ne vendent pas que des choses de première nécessité, mais aussi des habits, jouets, électronique, etc, ce que les commerçants fermés ne peuvent plus vendre.